Un cliché pour un candidat

Nous y voilà !! Dans un mois destination le CSA pour déposer en mains propres, mon projet pour présider France Télévisions. A partir d’aujourd’hui démarre ma campagne visuelle, « Un cliché pour un candidat », photos et selfies de ceux qui me soutiennent en arborant le tee-shirt, symbole textile de ma démarche.

Un candidat pour défendre la télévision publique, pas pour ajouter une ligne sur un CV. Le pouvoir comme moteur pas comme finalité d’un plan de carrière.

Collègues, confrères, amis, famille, seul ou en groupe, ils s’afficheront ici et d’avance je les remercie toutes et tous. Que la fête commence !!!

Merci Audrey !!!

Merci Audrey !!!

Qui veut la mort de la télévision publique ?

 

Je n’attendais pas grand chose de la nouvelle ministre de la culture. Au moins sur ce point là je n’ai pas été déçu. Ses déclarations concernant France Télévisions ne sont que le prolongement du manque d’ambition de l’État pour sa télévision publique.

Et c’est bien sûr autour du financement que tout se joue. Quid de l’élargissement de la redevance aux ordinateurs, tablettes et compagnie? Rien…Certes élargir l’assiette d’une taxe n’est pas populaire, dans le contexte actuel, et en général. Mais pour autant la question doit se poser un peu plus sérieusement que cela, si la tutelle a l’envie réelle de défendre le secteur public de l’audiovisuel.

Même chose pour un retour éventuel de la publicité , sous certaines conditions et partiellement dans la tranche post-20H. Il n’y a pas de « tabou absolu » dira Fleur Pellerin. Comprenez ce n’est pas un tabou de vous dire qu’on en reparlera peut être pour la loi de finances 2016. En attendant pendant deux exercices budgétaires la dotation de l’État, hors redevance, continuera de diminuer jusqu’au zéro pointé en 2017.

Alors certes, le groupe est mal géré, depuis la volonté farouche de construire une entreprise unique. Une structure qui devait générer des économies et qu’on ne voit pas toujours pas venir, si ce n’est par des plans de départs volontaires qui ne sont que des plans sociaux mal déguisés. Les contribuables/téléspectateurs tout comme les salariés ne peuvent que regretter que l’argent public soit mal utilisé, et cela mérite une sanction ,en changeant massivement les équipes en place. Mais il faut surtout changer le logiciel de l’entreprise unique qui coûte et qui fait des économies sur les « cœurs de métiers », sans objectif d’entreprise.

Mais pour autant la tutelle, informée de l’état financier de France Télévisions, tout comme de l’état social et psychologique du groupe, doit prendre ses responsabilités.

A moins qu’à l’Élysée, même si la télévision publique n’est pas la priorité du moment , bien évidemment, on préfère envoyer un message clair. La télévision publique doit disparaitre.

 

Lettre ouverte aux journalistes « médias »

 

Quoi que vous pensiez de ma candidature à la présidence de France Télévisions, il me semble que nous avons au moins une chose en commun.

Le désir d’informer le plus justement, le plus honnêtement possible.

C’est pourquoi je suis étonné que dans l’ensemble des articles sur la rentrée de France Télévisions, et de fait, le calendrier de la succession de son actuel PDG, rien ne mentionne l’existence du seul candidat déclaré à ce jour pour occuper ce poste.

Que les spécialistes des médias, que vous êtes, estiment que cette démarche est anecdotique, inutile, fantaisiste ou de témoignage, peu importe.

En revanche, comme l’inscrit clairement avec caractère, la charte d’éthique professionnelle des journalistes, « nous nous devons de disposer d’un droit de suite, qui est aussi un devoir, sur les informations que nous diffusons et de faire en sorte de rectifier rapidement toute information diffusée qui se révèlerait inexacte ».

Alors sans prétention aucune, mais avec cette vision du métier que nous partageons sans aucun doute, je vous rappelle que depuis le 22 mai 2014, oui, je suis officiellement candidat à la présidence de France Télévisions. En attendant que le CSA annonce officiellement le calendrier de la succession, les informations autour de ma démarche se trouvent en ligne à l’adresse suivante :    http://moipresidentdefrancetelevisions.org

Je ne suis pas de ceux qui sont les éternels candidats à tout, mais qui aurait le droit de décider que je ne puisse pas l’être cette fois là ? Avec un seul objectif, tout simplement, défendre la télévision publique.

Confraternellement

Serge Cimino

Journaliste à France 3

Candidat à la Présidence de France Télévisions

 

La fin du monologue social

L’amour n’existe pas, il n’y a que des preuves qui lui donnent vie. En paraphrasant cette citation, c’est bien de dialogue social dont il s’agit dans le billet du jour.

Dès le lancement par la direction de France Télévisions des nouvelles négociations de l’accord collectif (qui régit aujourd’hui l’entreprise), il y’a un point sur lequel nous, les salariés, savions que nous allions beaucoup perdre. Celui de la démocratie sociale.

Non pas de la co-gestion comme certains le disent souvent par caricature des syndicats et de tous ceux qui défendent la cause des salariés.
Les dirigeants qui rêvent aujourd’hui d’une entreprise sans instance représentative du personnel, on les connaît. Ils vont même jusqu’à dire que cela freine l’emploi ,la croissance dans certaines sociétés.
Mais bien sur , les responsables sont là, les élus du personnel sont un frein au développement économique parce qu’ils font appliquer les lois quand elles sont dévoyées par les patrons …
Le constat est là, sans exagération, il suffit de lire, d’écouter pour se rendre compte que ce dialogue social mis en avant depuis des années n’est qu’un leurre.

Mais je ne suis pas candidat à la présidentielle, alors je vais revenir à l’entreprise qui m’intéresse, France Télévisions. L’un des points clés du nouvel accord collectif entérine donc la mort du paritarisme dans cette entreprise de service public Avant les questions d’emploi, de rémunération individuelle, faisaient l’objet de débats en commissions paritaires , avec des représentants de la direction et des organisations syndicales. Depuis la signature de l’accord collectif en mai 2013 , le paritarisme est mort, la direction a consenti un droit de regard, et encore.

Pour beaucoup, et même pour un conseiller (parti depuis) de François Hollande, recevant une délégation du SNJ à l’Elysée, le paritarisme est galvaudé parce que trop comparable à de l’entre soi, lieu de marchandage, de compromis voire de compromission …
Une hallu totale …Supprimer le paritarisme c’est au contraire instaurer l’opacité complète en terme de salaires, d’emploi, de politique vis à vis des précaires, des situations sensibles en terme de mobilité professionnelle et la liste est encore longue .
Non le paritarisme n’est pas un cercle fermé où syndicats et direction s’amusent à gouverner ensemble l’espace d’une réunion.

Pendant des années j’ai été commissaire paritaire à France 3 puis à France Télévisions quand l’entreprise est devenue unique puis inique . C’était avant la signature de l’accord collectif qui enterre une partie des prérogatives des élus du personnel.

Et je peux vous dire que lors des commissions « emploi » nous avons, par exemple, sauvé bon nombre de CDD dont l’entreprise voulait se séparer .Certains cumulaient des milliers de jours de collaboration mais d’un coup de baguette magique la direction leur a dit « stop , circulez y’a plus rien à voir ». Alors ces paritaires ont joué leur rôle et beaucoup de ces CDD ont retrouvé des contrats et d’autres une place permanente dans l’entreprise.
Hélas aujourd’hui la direction qui fait de la précarité un mode de gestion a renouvelé ses erreurs et de nombreux CDD se retrouvent dans la même situation, avec en prime d’énormes dysfonctionnements dans leurs rémunérations.

Par la pression, par l’argumentation, par la menace prud’hommale, ces paritaires avaient cet avantage de porter la parole des salariés et de contrer les mauvais coups préparés par ceux qui nous dirigent .

Alors ma candidature s’inscrit aussi dans ce sillon de la restauration du dialogue social, en proposant le retour dans le champ de l’accord collectif des commissions paritaires pour l’emploi et les rémunérations individuelles et pourquoi pas de l’étendre à d’autres secteurs de décision .
Diriger une entreprise contre ses salariés ce n’est pas ma vision .Non sans angélisme aucun , on peut ,en instaurant un maximum d’instances de régulation, de dialogue, de contre pouvoir, réussir à mener son projet à bien.

Je le redis donc le dialogue social dans l’absolu n’existe pas , il faut donner des preuves …Comme en amour donc…la boucle est bien bouclée .

Comme une carte postale

Quelques mots pendant vos congés pour vous dire que l’un des buts de cette candidature est aussi de déverrouiller les choses .

Envie juste de répondre brièvement à ceux qui posent la même question depuis le 22 mai dernier, date de mon entrée en lice : « mais cette candidature est-ce bien sérieux ?  »

Sérieux quel drôle de mot !!! Ceux qui me connaissent savent que lorsque je m’engage, ce n’est pas juste pour occuper mon temps libre, mais bien parce que, oui, je suis impliqué.
A la fois dans la pratique de mon métier de journaliste, comme dans son prolongement qu’est le combat collectif à travers l’engagement syndical.
Défendre l’éthique et la déontologie au quotidien et dans les luttes avec le SNJ , c’est bel et bien complémentaire .
Et au delà de ce que certains appellent facilement du corporatisme, c’est bien une vision d’ensemble qui se construit et qui débouche sur ma candidature.
Exemplarité du service public, la formule n’est pas un ramasse miettes, bien au contraire.
– Éthique
– Déontologie
– Respect des salariés , des téléspectateurs ,de l’argent public , de ses missions galvaudées depuis des lustres par des intérêts bien trop croisés.

Quelques thèmes qui j’espère finiront par donner le sérieux que certains ne veulent pas me prêter.

Mais après tout est ce bien étonnant ? Comment prendre au sérieux un salarié qui ose affronter les grands décideurs, les grands patrons ? Qui est ce gueux qui vient frapper à la porte du pouvoir ? Qu’il reste donc à sa place et ne vienne pas déranger ceux qui se distribuent les postes depuis des décennies. Car si les modes de désignation ont changé depuis l’ORTF, en passant par Haute autorité, CNCL, Elysée et CSA, qui sort vainqueur à la fin ? Des dirigeants appelés encore à diriger et ainsi de suite. De poste en poste et d’aventure en aventure, on oublie les projets et on garde le pouvoir. Mais ça sans doute c’est beaucoup plus sérieux que ma démarche.

Sans prétention mais pas sans ambition moi je vous le dis, tout en bas de cette carte postale, les salariés eux me prennent au sérieux et c’est bien là l’essentiel .

Devoirs de vacances

En 2017 l’état va donc complètement retirer sa dotation , qui à la base se devait de compenser la disparition de la publicité après 20 heures à France Télévisions .
Vous vous souvenez la réforme annoncée sans préparation par l’ancien Président de la République , un 8 janvier 2008 , en même temps que le légendaire « avec Carla c’est du sérieux « . C’est dire !!!

Une loi sur l’audiovisuel public plus tard , France Télévisions est affaibli , comme le voulait Nicolas Sarkozy , mais par la grâce de son successeur , tout s’est aggravé…

Certes la redevance est en hausse , certes elle pourrait encore augmenter mais le manque à gagner reste inquiétant pour l’équilibre des comptes .

Le financement public ( redevance + dotation ) se chiffre autour de 2 milliards et demi d’euros au 31 décembre 2013 . Il faut y ajouter 375 millions de rentrées publicitaires , en baisse au regard de l’exercice 2012.

Mais pour autant si le gouvernement enlève ce qui peut s’apparenter à une subvention , déjà en baisse depuis 2012, au bout du compte, il va sans aucun doute manquer des sous dans les caisses fin 2014 , sans présager d’économies de fonctionnement demandées encore aujourd’hui par l’état aux patrons de l’audiovisuel public .

Alors, à la rentrée, le candidat que je suis se devra de faire des propositions de financement pour que tout cela s’installe dans la stabilité des projets et dans la pérennité de l’entreprise .

Extension de la redevance aux ordinateurs là ou il n’y a pas de téléviseurs , augmentation de cette même redevance , et bien sur programme d’économies sur les niveaux multiples de la hiérarchie et une réelle réforme de la structure de l’entreprise unique plus coûteuse qu’autre chose .

L’actuel PDV ( plan de départs volontaires ) qu’impose la direction sera sans réel effet pour l’économie de l’entreprise , mais elle en aura pour les salariés. Certaines organisations syndicales , dont celle qui me soutient, ont proposé un projet alternatif, dans lequel je m’inscris pleinement . Je vous le proposerai , amendé, à la rentrée .

Il est temps de passer aux choses sérieuses .Mon projet stratégique , que me demandera le CSA , comme l’acte fondateur de ma candidature, se prépare. Et malgré le silence des médias spécialisés, cette initiative fait son chemin . Sans bruit ….pour le moment …

Toujours seul

 

Il est certes peut-être un peu tôt. Mais à chacun son timing. Le mien est clair, je l’avais expliqué dans ma tribune le 22 mai dernier dans le journal Libération. Peser sur la future désignation du prochain Président de France Télévisions. Aujourd’hui il semble que les possibles candidats se sont donnés le mot pour dire qu’ils ne le seraient pas.

En interne Thierry Thuillier est en embuscade. Patron de l’info et chargé depuis peu des programmes de France 2, son échec autour de la réforme de l’access prime-time, ne lui donne pas la possibilité de se présenter comme l’homme de la situation. Mais sans doute, en stratège qu’il est, il semble tout autant attendre les évolutions de l’affaire politico-judiciaire autour de Bygmalion. Une affaire qui inquiète le président actuel , auditionné jeudi dernier par le juge Van Ruymbeke.

D’autres ont déjà déclaré forfait officiellement, mais l’avenir nous dira qui se découvre quand la place sera déclarée enfin vacante.

En revanche, juste un petit mot pour mes confrères qui traitent de l’actualité des médias. Oui il y’a bien un candidat déclaré à la succession de Rémy Pflimlin , officiellement depuis maintenant plus d’un mois. Il est ici entre ces lignes…

Alors juste un peu de respect pour l’un des vôtres. Peut-être ne trouvez vous pas cette candidature digne des traditionnels candidats à tout.Mais sachez qu’à minima, cette initiative est sérieuse, réfléchie et soutenue par bon nombre de salariés de l’entreprise. Le dire alors dans vos articles aurait au moins un intérêt. Informer…

Confessions médiatiques

C’est une humeur comme une autre. Un dégoût comme un autre. Quelques lignes parmi d’autres. Mais tout cela existe bien, puisque j’ai eu envie de l’écrire. Je n’avais pas aimé  DSK et sa relation inappropriée, Cahuzac et sa part d’ombre, et j’ai détesté tout autant Sarkozy et sa théorie de l’acharnement judiciaire. Entretiens-confessions organisés par des communicants qui choisissent le média pour délivrer le message calibré, les mots pesés et livrer sa vérité.

Mea culpa, aveux, charge contre des juges, à chacun sa figure imposée aux téléspectateurs et aux autres journalistes qui commentent de fait ce qu’on a bien voulu leur offrir sur un plateau. De la « com » et rien d’autre. Louable les efforts parfois pour donner le change à sa conscience et à sa carte de presse, mais finalement au bout du compte toujours cette même impression d’immense illusion d’optique. Une information déguisée et des téléspectateurs trompés, avec comme seule consolation, la conviction que leurs vérités ne se substitueront pas éternellement à la réalité des faits.

 

 

Un rapport pour rien…

 

Le Rapport Brucy est donc enfin sorti des limbes de la réflexion. Remis hier à la ministre de tutelle, il était destiné à dresser les contours d’un big-bang du réseau régional de France 3. Et..rien !!! Quelques banalités, le tout numérique comme vecteur d’information, des propositions de réaffectation de personnels, et grande idée :permettre à des journalistes de prendre l’antenne pour des actualités chaudes de chez chaudes. Sans blague , on y avait jamais pensé…

Pour le reste circulez y’a pas un rond, donc coût constant, donc direction le placard des rapports sur l’audiovisuel. Certes en creux, Anne Brucy a su entendre celles et ceux qui dénoncent les dégâts de la réforme Carolis (entreprise unique) qui a fait de France 3 un monstre difforme éloigné de la proximité, dont tout le monde se gargarise, mais sans pour autant faire ce qu’il faut pour l’instaurer.

Je ne me fais pas d’illusion et encore moins en lisant le communiqué de la ministre Filippetti qui « salue le travail accompli par Anne Brucy ». Elle poursuit en écrivant que « penser et construire l’avenir de la télévision publique dans sa relation de proximité avec les Français est une nécessité ardente dans une période où la demande de lien social se fait sentir avec acuité ». Chiche Aurélie mais on commence quand et avec quelles ressources ? La droite nous a coupé les vivres et vous êtes en train de nous couper l’eau…

Soyons sérieux,  la gauche pas plus que la droite n’a de projet pour la télévision publique, si ce n’est celui de faire des économies n’importe où et n’importe comment. Sans vision , sans idée. L’organisation syndicale à laquelle j’appartiens et qui me soutient dans mon initiative, a proposé, bien avant le rapport Brucy, des pistes pour un avenir du réseau régional. Je m’en fais l’écho ici, en interpellant à nouveau le ministère de tutelle. Il est urgent de ne plus attendre pour donner de réels moyens à la télévision publique.

Audition à l’aveugle…

Depuis hier l’information circule. Le juge Renaud Van Ruymbeke va auditionner le président de France Télévisions, dans le cadre de l’affaire Bygmalion et de son volet qui concerne de manière de plus en plus pregnante notre société.

Témoin assisté, sera le statut du PDG au début de l’audition.Qu’en sera t-il à la sortie?

Comment imaginer que dans une affaire de soupçons de favoritisme, on puisse être favoriser seul ? Après les mises en examen de Messieurs Carolis, Millot et Pascal, le tour est -il venu de faire entrer dans la danse l’actuelle direction et ses représentants ? L’ancien secrétaire général du groupe parti au ministère de la culture et donc l’actuel président du groupe audiovisuel public ?

Si le juge décidait de mettre en examen le PDG de France Télévisions, que peut-il alors se passer ? La tutelle, le CSA, le Château laisseront-ils faire sous le seul prisme de la présomption d’innocence ? Ou faudra t-il comme nous le disons souvent dans nos reportages que des politiques ou autres se retirent de leurs fonctions pour mieux se défendre ? Le temps politique, le temps médiatique sont bien différents du temps judiciaire.

Tout cela est certes fictionnesque mais diablement possible. A titre personnel, comme salarié de France Télévisions, comme journaliste traitant de la politique intérieure, comme élu du personnel, et enfin comme candidat à la présidence de France Télévisions, je pense que la situation du PDG deviendrait alors intenable.

La semaine qui s’annonce se présente donc  bien comme une semaine cruciale pour que s’ouvre peut-être une séquence inédite dans l’histoire de France Télévisions. Et c’est un acteur qui veut y jouer un rôle, et pas de figurant, qui vous le dit.

Je ne souhaite rien qui puisse encore un peu plus affaiblir l’entreprise qui m’emploie. Je ne souhaite rien qui puisse encore un peu plus ternir son image.

Mais je voudrais comme une grande majorité des salariés que France Télévisions cesse d’être associée à ce qui abime une démocratie. L’opacité, le mensonge, l’argent public dilapidé, les intérêts croisés, et d’autres choses que nous ne savons pas encore dans ce dossier aux multiples facettes.

La suite sera ailleurs, et commentée ici. L’inverse également…